Organes: Primitif du foie - Spécialités: Thérapies Ciblées,Immunothérapie - Vaccinothérapie
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 4 ans
Essai clos aux inclusions

Étude REGOMUNE : étude de phase 1-2 évaluant la sécurité et la tolérance du régorafénib en association avec de l’avélumab chez des patients ayant des tumeurs digestives. Les cancers digestifs peuvent se développer sur tout le tube digestif (oesophage, estomac, intestin grêle, côlon-rectum, anus) ainsi que dans d’autres organes comme le foie, le pancréas et les voies biliaires. Avec plus de 42 000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année en France, les cancers du côlon et du rectum sont de loin les plus fréquents parmi les cancers primitifs du tube digestif. Le régorafénib agit en bloquant l’action d’une protéine jouant un rôle dans la communication, le développement, la division et la croissance des cellules, produite en quantités anormalement élevées dans les cellules tumorales. L’avélumab agit en empêchant la liaison des cellules tumorales aux cellules immunitaires. Bloquer cette interaction aide le système à attaquer les tumeurs afin de ralentir ou d’arrêter la croissance tumorale. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la tolérance du régorafénib associé à de l’avélumab chez des patients ayant des tumeurs digestives. L’étude se déroulera en 2 étapes : Lors de la première étape, les patients recevront du régorafénib une fois par jour pendant 3 semaines associé à de l’avélumab toutes les 2 semaines à partir du début de la troisième semaine de la première cure. La dose du régorafénib sera régulièrement augmentée afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Lors de la deuxième étape, les patients seront répartis en 4 groupes en fonction de la pathologie (cancer colorectal, tumeurs stromales gastro-intestinales, carcinome de l’oesophage ou de l’estomac, cancer des voies biliaires ou carcinome hépatocellulaire). Tous les patients recevront du régorafénib une fois par jour pendant 3 semaines à la dose la mieux adaptée déterminée lors de la première étape associé à de l’avélumab toutes les 2 semaines à partir du début de la troisième semaine de la première cure. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients participant à la première étape seront suivis pendant 28 jours minimum et 1 an maximum. Les patients participant à la deuxième étape seront suivis pendant 1 an.

Essai ouvert aux inclusions
Eisai MAJ Il y a 4 ans

Étude E7080-J081-116 : étude de phase 1b évaluant la tolérance et la sécurité d’emploi du lenvatinib en combinaison avec le pembrolizumab chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire. [essai clos aux inclusions] Le carcinome hépatocellulaire est un cancer primitif du foie qui se développe, dans la grande majorité des cas, à partir des cellules du foie déjà endommagées par une maladie chronique ou une cirrhose. La transplantation du foie constitue le traitement de 1re intention. Le carcinome hépatocellulaire représente environ 80 % de l’ensemble des tumeurs primitives ou secondaires du foie. Avec 714 600 cas en 2002, ce type de cancer représente le 5e cancer le plus fréquent dans le monde. Le lenvatinib est un inhibiteur des facteurs de croissance et de prolifération des cellules, en particulier des cellules qui forment les parois vasculaires. Son rôle consiste à bloquer la vascularisation du tissu tumoral qui, privé d’apport nutritif et d’oxygène, se résorbe. Pour se protéger, les cellules cancéreuses produisent des facteurs inhibant le système immunitaire. Le pembrolizumab bloque cette action, permettant de réactiver les lymphocytes T qui pourront éliminer les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la tolérance et la sécurité d’emploi du lenvatinib associé au pembrolizumab chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire. Les patients recevront du lenvatinib une fois par jour et du pembrolizumab une fois toutes les 3 semaines pendant des cures de 3 semaines chacune jusqu’à intolérance au traitement. Les patients seront revus 30 jours après la fin du traitement de l’étude et seront suivis jusqu’à la fin de l’étude.

Essai clos aux inclusions
Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 6 ans
Essai ouvert aux inclusions
Forma Therapeutics MAJ Il y a 4 ans

Étude 2102-ONC-102 : de phase 1b-2 évaluant la sécurité et l’efficacité du FT2102, chez des participants ayant une tumeur solide avancée ou un gliome porteur d'une mutation IDH1. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquents puisqu’ils représentent 90% des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes) (exemple : cancer du sein) et les sarcomes, moins fréquents, sont issus de cellules des tissus conjonctifs (exemple : cancer de l’os). Le traitement des tumeurs solides dépend des caractéristiques de la tumeur (ex : de la localisation de la tumeur, de son type histologique, de son stade, de la présence ou non de métastase). Le FT2102 est un inhibiteur de IDH-1. Lorsque cette enzyme est mutée, elle empêche les cellules de se différencier et conduit à la prolifération de cellules immatures. Ce traitement permet donc d’empêcher la prolifération des cellules tumorales. L’azacitidine est un traitement qui permet de tuer les cellules précurseurs du sang cancéreuses dans la moelle osseuse et empêche la réplication de l’ADN des cellules et cancéreuses, entrainant ainsi leurs morts. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur/ Le nivolumab est un anticorps qui active le système immunitaire contre les cellules cancéreuses et permet ainsi de les tuer. La gemcitabine et cisplatine sont des chimiothérapies. Elles agissent en inhibant la réplication de l’ADN et induisent la mort cellulaire préférentielle des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et l’efficacité du FT2102 chez des participants ayant une tumeur solide avancée ou un gliome porteur d'une mutation IDH1. L’étude comprendra 2 étapes. Lors de la 1ère étape, les patients seront répartis en 5 groupes en fonction du type de cancer. Tous les patients recevront du FT2102. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2ème étape, les patients seront répartis de façon aléatoire en 4 groupes en fonction du type de cancer. Les patients du 1er groupe recevront du FT2102. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du FT2102 associé à de l’azacitidine selon les pratiques standards du centre. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 3ème groupe recevront du FT2102 associé à du nivolumab selon les pratiques standards du centre. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 4ème groupe recevront du FT2102 associé à de la gemcitabine selon les pratiques standards du centre. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 24 semaines.

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SillaJen MAJ Il y a 5 ans

Étude JX594-HEP024 : étude de phase 3, randomisée, visant à évaluer le Pexa-Vec (vaccin GM-CSF/ virus thymidine kinase désactivé) suivi du sorafénib par rapport au sorafénib seul, chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire (CHC) avancé n’ayant pas préalablement reçu de traitement systémique. Le carcinome hépatocellulaire est un cancer primitif du foie. Il survient presque toujours sur une maladie préexistante, cirrhose ou hépatopathie chronique virale. Certaines souches de virus B ou C sont plus susceptibles de causer un cancer. L’objectif de cette étude est d’évaluer le Pexa-Vec (vaccin GM-CSF/ virus thymidine kinase désactivé) suivi du sorafénib par rapport au sorafénib seul chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire (CHC) avancé. Les patients seront répartis de façon aléatoire dans 2 groupes. Les patients du premier groupe recevront du Pexa-Vec sous la forme de 3 injections intratumorales (IT) toutes les deux semaines (Jour 1, Semaine 2, Semaine 4). Les patients resteront en observation à la clinique et/ou à l’hôpital pendant un minimum de 8 heures après chaque injection IT. Le sorafénib sera initié à la semaine 6 ou 2 semaines après la dernière injection IT, mais pas avant la semaine 6. Il est administré par voie orale tous les jours jusqu’à progression de la maladie ou apparition d’une toxicité. Les patients du deuxième groupe recevront du sorafénib à partir du jour 1, sous forme de comprimés, pris tous les jours jusqu’à progression de la maladie ou apparition d’une toxicité. Les patients devront se présenter à des visites de suivi toutes les 6 semaines pour se soumettre à une évaluation radiologique jusqu’à la survenue d’une progression documentée ou l’arrêt prématurée de l’étude.

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AstraZeneca MAJ Il y a 4 ans

Étude HIMALAYA : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité et la sécurité du durvalumab en monothérapie et en association avec du trémélimumab avec celles du sorafénib en première ligne de traitement chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire non résécable. Le carcinome hépatocellulaire (CHC) est le sixième cancer le plus fréquent dans le monde. Il est lié à l’hépatite C chronique et à la stéatohépatite non alcoolique induite par l’obésité et/ou le diabète de type 2. Dans 90 % des cas, le CHC survient dans un contexte de cirrhose hépatique. Il reste très longtemps asymptomatique ce qui explique qu’il soit souvent diagnostiqué tardivement. Le CHC se développe, dans la grande majorité des cas, à partir de cellules du foie déjà endommagées par une maladie chronique ou une cirrhose. Le traitement de première intention du CHC est la transplantation du foie. Dans les cas où la transplantation n’est pas possible, la résection du foie est proposée aux patients. Le durvalumab est un nouveau traitement d’immunothérapie à l’étude. De nombreuses études précédentes ont montré le bénéfice des immunothérapies dans le cadre du traitement du cancer. Le durvalumab a par ailleurs obtenu une autorisation de mise sur le marché pour le traitement du cancer du poumon non à petites cellules. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité et la sécurité du durvalumab administré seul et associé à du trémélimumab avec celles du sorafénib en première ligne de traitement chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire non résécable. Les patients du premier groupe recevront du durvalumab toutes les 4 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront du durvalumab associé à du trémélimumab à faible dose toutes les 4 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du troisième groupe recevront du durvalumab associé à du trémélimumab à forte dose toutes les 4 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du quatrième groupe recevront du sorafénib administré selon les soins standard en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 4 ans.

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SillaJen MAJ Il y a 4 ans

Étude JX594-HEP024 : étude de phase 3, randomisée, visant à évaluer le Pexa-Vec (vaccin GM-CSF/ virus thymidine kinase désactivé) suivi du sorafénib par rapport au sorafénib seul, chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire (CHC) avancé n’ayant pas préalablement reçu de traitement systémique. [essai clos aux inclusions] Le carcinome hépatocellulaire est un cancer primitif du foie. Il survient presque toujours sur une maladie préexistante, cirrhose ou hépatopathie chronique virale. Certaines souches de virus B ou C sont plus susceptibles de causer un cancer. L’objectif de cette étude est d’évaluer le Pexa-Vec (vaccin GM-CSF/ virus thymidine kinase désactivé) suivi du sorafénib par rapport au sorafénib seul chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire (CHC) avancé. Les patients seront répartis de façon aléatoire dans 2 groupes. Les patients du premier groupe recevront du Pexa-Vec sous la forme de 3 injections intratumorales (IT) toutes les deux semaines (Jour 1, Semaine 2, Semaine 4). Les patients resteront en observation à la clinique et/ou à l’hôpital pendant un minimum de 8 heures après chaque injection IT. Le sorafénib sera initié à la semaine 6 ou 2 semaines après la dernière injection IT, mais pas avant la semaine 6. Il est administré par voie orale tous les jours jusqu’à progression de la maladie ou apparition d’une toxicité. Les patients du deuxième groupe recevront du sorafénib à partir du jour 1, sous forme de comprimés, pris tous les jours jusqu’à progression de la maladie ou apparition d’une toxicité. Les patients devront se présenter à des visites de suivi toutes les 6 semaines pour se soumettre à une évaluation radiologique jusqu’à la survenue d’une progression documentée ou l’arrêt prématurée de l’étude.

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BeiGene MAJ Il y a 4 ans

Étude BGB-A317-301 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité et la sécurité d’emploi du tislelizumab par rapport au sorafénib en traitement de première intention chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire non résécable. Le carcinome hépatocellulaire, ou hépatocarcinome, représente 90 % des cancers primitifs du foie. Il tient son nom des cellules du foie à partir desquelles il se développe, les hépatocytes. Le plus souvent le carcinome hépatocellulaire apparaît sur un foie endommagé par une maladie. Il peut également arriver que le carcinome se développe chez une personne ayant un foie normal. La résection du foie permet d’enlever la tumeur ainsi qu’une marge de tissu sain tout autour. Elle constitue le traitement principal lorsqu’il n’y a qu’une seule tumeur, que celle-ci mesure moins de 2 cm et que le cancer ne s’est pas propagé. Le tislelizumab est un anticorps monoclonal qui agit en empêchant la liaison des cellules tumorales aux cellules immunitaires. En bloquant cette interaction, le système immunitaire retrouve son aptitude à attaquer les cellules cancéreuses. Le sorafénib est un inhibiteur d’enzymes impliquées dans la croissance des cellules cancéreuses. Il bloque la multiplication des cellules cancéreuses ainsi que la formation de nouveaux vaisseaux sanguins nécessaire à leur développement. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité et la sécurité d’emploi entre du tislelizumab par rapport au sorafénib dans le traitement de première intention chez des patients adultes atteints d’un CHC non résécable. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du tislelizumab toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété en l’absence de nouvelle progression ou d’intolérance au traitement. Une progression initiale selon les critères RECIST v1.1 sera autorisée. Les patients du 2ème groupe recevront du sorafénib 2 fois par jour. Le traitement sera répété en l’absence de nouvelle progression ou d’intolérance au traitement. Une progression initiale selon les critères RECIST v1.1 sera autorisée. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 4 ans.

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Bristol Myers Squibb (BMS) MAJ Il y a 4 ans

Étude CheckMate040 : étude de phase 1-2 visant à évaluer l’efficacité, la sécurité d’emploi et la tolérance du nivolumab en monothérapie ou du nivolumab en association à l’ipilimumab chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire avancé avec ou sans une hépatite virale chronique et étude randomisée visant à comparer l’efficacité, la sécurité d’emploi et la tolérance du nivolumab au sorafénib chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire naïfs de traitement systémique. [essai clos aux inclusions] Le carcinome hépatocellulaire est le sixième cancer le plus fréquent dans le monde. Il est lié à l’hépatite C chronique et à la stéatohépatite non alcoolique induite par l’obésité et/ou le diabète de type 2. Dans 90% de cas, le carcinome hépatocellulaire survient dans un contexte de cirrhose hépatique. Le traitement standard se fait par du sorafénib, qui inhibe la prolifération cellulaire et la vascularisation des cellules tumorales, mais il peut survenir une progression de la maladie. Par conséquent, il est nécessaire de trouver un traitement alternatif au sorafénib pour les patients dont la maladie progresse sous ou après traitement. L’objectif de cet essai est d’évaluer l’efficacité, la sécurité d’emploi et la tolérance du nivolumab en monothérapie ou du nivolumab en association à l’ipilimumab chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire avancé avec ou sans une hépatite virale chronique et de comparer l’efficacité, la sécurité d’emploi et la tolérance du nivolumab au sorafénib chez des patients ayant un carcinome hépatocellulaire naïfs de traitement systémique. L’étude se divise en 2 parties. La première partie de l’étude est une phase d’escalade de dose. Les patients seront répartis en 2 groupes et ils recevront du nivolumab par voie intraveineuse à doses différentes : Groupe 1 : patients ayant un carcinome hépatocellulaire non infecté. Groupe 2 : patients ayant un carcinome hépatocellulaire infecté par le virus de l’hépatite B ou C. La deuxième partie de l’étude est une phase d’expansion de groupes de traitement. Groupe 3 : les patients ayant un carcinome hépatocellulaire avancé sont répartis en deux groupes de façon aléatoire. Les patients du groupe 3A recevront du nivolumab par voie intraveineuse. Les patients du groupe 3B recevront du sorafénib par voie orale. Groupe 4 : les patients ayant un carcinome hépatocellulaire avancé recevront du nivolumab par voie intraveineuse plus de l’ipilimumab par voie intraveineuse. Groupe 5 : les patients ayant un score Child-Pugh B recevront du nivolumab par voie intraveineuse plus de l’ipilimumab par voie intraveineuse. Groupe 6 : Les patients du groupe 6A recevront du nivolumab par voie intraveineuse plus du cabozantinib par voie orale. Les patients du groupe 6B recevront du nivolumab par voie intraveineuse plus de l’ipilimumab par voie intraveineuse plus du cabozantinib par voie orale. Les patients seront suivis pendant un minimum de 6 mois et jusqu’à 9 ans.

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